Par Nadine Acoury
La clique collaborationniste de Abou Mazen &  Co a empêché la cérémonie prévue jeudi 11 mars pour dédier une place à  Ramallah et à al-Bireh (Cisjordanie) à Dalal Moghrabi, célèbre héroïne  palestinienne, en commémoration de l'opération de résistance qu'elle a  conduite à l'âge de 20 ans, le 11 mars 1978, à la tête d'un groupe de 10  fedayin arrivés par la mer, qui se sont emparés en plein Tel Aviv d'un  bus militaire et liquidé 36 sionistes.                        
Ehud Barak maltraitant la dépouille de Dalal, le 11 mars 1978
Qu'est-ce qu'on parie que Abou Mazen et ses représentants seraient trop  heureux de répondre « présents ! » si Delanoë les invitait à la  cérémonie du 13 avril prévue pour donner à une esplanade de Paris le nom  d'un pilier du colonialisme sioniste en Palestine, dans le but bien sûr  de « relancer les négociations de paix juste et durable entre les deux  peuples voisins du Proche-Orient » et surtout de « lutter ensemble  contre le terrorisme et la résistance armée » ? 
GLOIRE AUX MARTYRS DE LA RESISTANCE Dalal Moghrabi, née en 1958 dans le camp de réfugiés de Borj el  Barajneh, dans la banlieue sud de Beyrouth, originaire de la ville de  Yafa en Palestine (et selon certaines sources, dont la famille  algérienne était venue s'établir en Palestine avec l'émir Abdel Kader),  était membre du Fatah. Sa dépouille devait faire partie des dépouilles  de prisonniers récupérées lors de l'opération prisonniers sionistes  contre prisonniers de la résistance menée en juillet 2008 par le  Hezbollah, mais il semble que les sionistes aient poussé la fourberie  jusqu’à la soustraire à l'échange.
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