Votre voisin a pété les plombs, et avec 
sa carabine il tire sur les enfants. Soudain, il se tourne vers vous, 
l’air consterné : « Je vais manquer de munitions, alors qu’il y a encore
 des enfants à abattre ». La main sur le cœur, vous vous dépêchez de lui
 donner de nouvelles armes. C’est que ce vient de faire Obama pour les 
tueurs d’Israël.
Les Etats-Unis (Territoire indien occupé, Amérique du Nord) ont confirmé hier avoir réapprovisionné en munitions Israël, qui en avait fait la demande urgente le 20 juillet.
C’est dire que si Obama refusait, Israël
 était dans la panade, et des vies palestiniennes auraient été sauvées. 
Israël est un Etat mineur, sous assistance, qui ne sait rien faire sans 
sa maman-Folcoche, les US.
Le porte-parole des mirlitons US, aux 
mains couvertes de sang, John Kirby, explique : « Les États-Unis se sont
 engagés à garantir la sécurité d’Israël, et il est crucial pour les 
intérêts nationaux américains d’aider Israël à développer et à maintenir
 une capacité d’autodéfense forte et réactive. Cette vente d’armement est cohérente avec ces objectifs ».
Ces munitions étaient entreposées par l’armée états-unienne sur le sol israélien, comme un gros biberon de mort pour l’armée israélienne « en cas d’urgence ». La vente s’est faite pour un milliard de dollars (746 millions d’euros).
Le petit John Kirby, qui se calcule déjà
 en avocat pour l’ouverture du procès d’Obama, tente de plaider : « La 
décision de délivrer des munitions à partir de ce stock était purement 
ministérielle et ne nécessitait par l’approbation de la Maison 
Blanche ».
Bien sûr John, prend-nous pour des demeurés. Tu finiras en taule toi aussi, comme ton patron.