| [ 29/10/2011 - 16:32 ] | 
| 
           | 
      
| 
           
Londres - CPI 
Le juge de la cour d'immigration dans 
la ville britannique de Birmingham  a approuvé la décision de la 
ministre de l'Intérieur d'expulser Cheikh Raed Salah, chef du mouvement 
islamique dans les territoires palestiniens occupés en 1948, du 
territoire britannique, au motif que ses vues et ses positions envers 
l'entité sioniste peuvent donner lieu à des controverses et des 
problèmes entre la communauté britannique. 
Le cheikh a interjeté appel au début 
d'Octobre contre la décision du ministre de la cour d'immigration et de 
contester les raisons invoquées par le gouvernement pour justifier la 
décision, mais le juge a considéré la décision du gouvernement, bien que
 juridiquement n’ait  pas prouvé les accusations portées contre Cheikh 
Salah. 
Le Forum palestinien en Grande-Bretagne a 
déclaré que cette décision n’est qu’une distinction politique, car au 
moment où le juge ne pouvait pas étayer les accusations présentées par 
le lobby sioniste contre Cheikh Salah et adoptées par la ministre de 
l'Intérieur dans sa décision d'expulser Cheikh, cependant, il a rejeté 
le pourvoi de Cheikh Salah contre la résolution, ce qui signifie que le 
juge a donné  bénédiction à la demande ministérielle de déporter Cheikh 
Salah, au motif «que sa présence pourrait provoquer des problèmes entre 
les segments de la société de différentes religions, parce que l'opinion
 du Cheikh et ses attitudes envers l'occupation pourrait être compris 
comme contre les Juifs», selon le juge. 
Zaher Berawi, responsable des relations 
officielles et l’information au forum palestinienne a averti le 
gouvernement britannique des répercussions de la résolution, tout en 
déclarant qu'elle est plus dangereux pour la société britannique de la 
position de Cheikh qui ne représente que des opinions et  positions 
politiques partagées par un large public britannique, et même des 
membres de la Chambre des communes britannique qui étaient prêts à 
témoigner récemment avec le cheikh lors des audiences au tribunal. 
Berawi a affirmé que la décision du juge 
d'expulser Cheikh endommage de manière significative la crédibilité de 
la justice britannique d'une part, et la liberté d'expression, qui est 
l'une des caractéristiques les plus importantes de la société 
démocratique, de l'autre. 
Il a ajouté que cette décision et les 
modifications antérieures aux lois sur la détention des criminels de 
guerre, et celles qui menaçaient les criminels de guerre des dirigeants 
de l'occupation dans le cas d'entrée sur le territoire britannique, 
ainsi que le fait de permettre à la secrétaire d'Etat sioniste 
précédente de visiter Londres récemment, en dépit d'un mandat d’arrêt 
contre elle,  il y a deux ans,  consistent une preuve réelle de la 
soumission du gouvernement et les tribunaux britanniques à la pression 
du lobby sioniste en Grande-Bretagne et la pression de l'entité 
sioniste, et lance une phase noire de l'histoire de la Grande-Bretagne 
pour le recul de la liberté d'expression et la loi face aux positions 
politiques du parti au pouvoir. 
 | 
Pages
▼