| [ 27/04/2011 - 13:36 ] | 
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|             Washington – CPI      Un sondage effectué par le Pew Research  Center aux Etats-Unis a révélé que 54% des égyptiens veulent annuler le  traité de paix avec l'entité sioniste et la fermeture de l'ambassade  sioniste au Caire, selon le rapport publié, hier mardi 26/4, par le site Web de la télévision allemande Deutsche Welle, en langue arabe . Le sondage a démontré que 54% des sondés veulent annuler l'accord de Camp David signé avec l'entité sioniste en 1979, tandis que 36 % pensent qu'il devrait être conservé. Il révèle également la présence d'une grande joie chez les égyptiens après le départ du pouvoir de l'ancien président Mohamed Hosni Moubarak, alors que deux tiers des Egyptiens ont affirmé être satisfaits des progrès du pays. Le centre a déclaré que les résultats du  sondage sont fondés sur des entrevues menées par le "Global Attitudes  Project" appartenant au centre, avec 1000 citoyens égyptiens sondés  durant la période allant du 24 mars au 7 avril. Selon le sondage, le  taux de soutien à la démocratie a augmenté par rapport au sondage de  l'année dernière qui montrait que 60% des égyptiens étaient favorables à  la démocratie, 70% l'ont soutenu dans le sondage de cette année. 88% des Egyptiens pensent que l'armée a un impact positif  sur les progrès du pays, alors que les avis divergent sur la  police, puisque 39% ont déclaré que la police a également un impact positif et 61% pensent le contraire, selon le sondage. En ce qui concerne la législation, le  sondage a montré que près de 60% pensent que les lois doivent être  compatibles avec les dispositions du Coran. A propos de l'image des Etats-Unis, le  sondage a révélé qu'elle reste négative, et que la révolution qui a  renversé Moubarak na l'a pas améliorée. 70% des égyptiens trouvent que  Washington a joué un rôle négatif ou n'a joué aucun rôle dans ces  changements politiques, au moment où l'image d'Obama reste négative, où  64% ont dit ne pas lui faire confiance, contre 35, tandis que 52 ont  exprimé leur ressentiment sur la façon dont l'administration  d'Obama gère les révolutions arabes, contrairement à 45% qui la  soutiennent.  | 
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