| [ 18/04/2011 - 11:11 ] | 
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|             Gaza – CPI      Abou Moudjahid, porte-parole du Comité de la  résistance populaire, a confirmé que l'enlèvement du soldat sioniste  Gilad Shalit, il y a 5 ans, a fait considérablement avancé la question des détenus palestiniens dans les prisons sionistes, et a permis la diffusion de ce sujet au niveau mondial et international. L'entité sioniste refuse la libération de 1000 prisonniers palestiniens dans le cadre de l'opération d'échange de prisonniers avec le soldat sioniste, Gilad Shalit, capturé par la résistance palestinienne dans la Bande de Gaza depuis juin 2006. La moitié a été condamnée à la perpétuité et leurs noms ont été définis par la résistance palestinienne, mais les négociations sont au point mort en raison de l'intransigeance sioniste continuelle et son refus de répondre aux exigences de la résistance. Dans ses déclarations à l'agence "Qods Press", Abou Moudjahid a démontré que "la  question des prisonniers palestiniens dans les prisons  sionistes n'était traitée qu'au niveau palestinien, et est célébrée le  17 avril de chaque année à l'occasion de la Journée  du Prisonnier, jusqu'à ce que la résistance palestinienne ait pu de  capturer Shalit pour transmettre cette cause dans les forums  internationaux, et tous les pays ont pris connaissance de cette question  après avoir entendu la capture de Shalit et les raisons de son  enlèvement". "L'enlèvement de Shalit a fait de  chaque jour une "Journée du prisonnier" grâce au traitement de cette  question dans les médias, et a révélé l'hypocrisie de la communauté  internationale qui se déplace pour un seul détenu sioniste enlevé lors  d'une bataille militaire, alors qu'elle ne se déplace pas pour plus de  7000 détenus palestiniens dont la majorité a été arrêtée avant la  naissance de Shalit", a-t-il ajouté. Abou Moudjahid a affirmé que les factions  de la résistance palestinienne qui détiennent Shalit, dont le mouvement  des comités de la résistance restent attachées à leurs conditions  proposées pour la libération de Shalit. Il considère que le temps n'est pas en  faveur de l'occupation et que son mépris de cette affaire ne lui servira  d'aucune façon, appelant les sionistes à répondre aux exigences de la  résistance, le plus tôt possible. Le porte-parole des Comités de la  résistance populaire a appelé la famille de Shalit à faire pression sur  le gouvernement sioniste d'extrême droite dirigé par Benjamin Netanyahu,  pour répondre aux demandes de la résistance, et à ne pas jouer avec le  feu en commettant des folies pour la libération de Shalit par d'autres  moyens.    Il a adressé un message aux détenus dans  les prisons sionistes à l'occasion de la Journée du prisonnier  palestinien, les exhortant à la patience parce que leur libération est  proche et que la résistance capturera d'autres soldats sionistes  | 
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