| [ 29/03/2011 - 14:16 ] | 
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|             Ramallah – CPI      La Cour  suprême sioniste dans la ville occupée d'al-Qods, a décidé, le lundi  28/3, de prolonger la détention de l'avocate Chirin Tariq Issawi et de  ses deux frères Raafat et Medhat, en attendant la publication d'une décision finale qui devrait être annoncée dans une semaine. L'avocate Bouthainah Dekmak, présidente de  l'association de Mandela, a déclaré que cette décision est arbitraire et  représente une violation flagrante de toutes les normes et les lois, y  compris sionistes, parce que la détention n'est fondée sur aucune base  légale. L'avocate Dekmak a souligné l'existence  d'une violation grave et flagrante à la loi dans le dossier des Issawis  qui ont passé environ un an dans les prisons sionistes, et l'occupation  refuse de les libérer alors qu'aucune charge ne pèse contre eux. Elle a appelé le syndicat des avocats à soutenir leur consoeur, l'avocate, Chirin Issaw, détenue à tort et soumise à de graves abus. Al-Haj Tariq Issawi, père des détenus, a  déclaré que le tribunal sioniste a tenu sa séance en présence de ses 3  fils et de leurs avocats qui ont demandé leur libération immédiate après  la fin du délai limité par le parquet pour présenter des preuves et des  témoignages à charge contre eux, mais il a été impossible de présenter  un chef d'accusation contre eux. Issawi (le père) a ajouté que le procureur  sioniste a demandé de prolonger leur détention pour donner une  occasion à l'accusation jusqu'à la fin de l'audition de son témoignage  au cours de la prochaine étape . Il a poursuivi que la Cour centrale à al-Qods a fixé cinq séances pour examiner le cas des Issawis et débuteront le 24 mai pour une durée de deux mois. Issawi a finalement assuré que pour masquer  son échec et son incapacité à faire condamner son fils,  le parquet  sioniste a fait sortir un ancien dossier de sécurité de son fils,  Medhat, lors de son arrestation, il y a 19 ans. Il se base sur cette  charge pour demander le prolongement de la détention, prétendant que  leur libération constitue un danger pour la question, ce que le tribunal  a accepté.  | 
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