| [ 09/03/2011 - 13:04 ] | 
|             |        
|             Ramallah – CPI Le journal hébreu "Haaretz" a  cité dans son édition de mercredi 9/3 que la direction de l'armée  sioniste en Cisjordanie occupée a préparé il y a environ un an un  programme global pour combattre de vastes manifestations en Cisjordanie,  mais elle modifie actuellement ce programme à la lumière des révolutions populaires en Tunisie et en Egypte. Le journal a rapporté de hauts officiers  sionistes qui ont déjà travaillé en Cisjordanie occupée, qu'ils  pensentqu'il n'y a aucune manière efficace pour lutter efficacement  contre toute importante Intifada populaire non-violente. Un haut officier sioniste qui travaille en  Cisjordanie occupée a reconnu la possibilité du déclenchement d'une  révolution non-violente mais de moindre ampleur, car la situation ne  sera pas similaire à ce qui s'est passé en Egypte, selon ses propos. Un certain nombre d'officiers sioniste qui travaillaient depuis longtemps en Cisjordanie ont déclaré que "à l'heure actuelle, les habitants sont encore fatigués de la deuxième Intifada". Des responsables militaires sionistes ont  confirmé qu'ils ne feront aucun effort pour éviter de grandes  manifestations des civils palestiniens, tant qu'ils ne tentent pas  d'entrer dans les colonies. Selon le journal, l'armée sioniste considère que toute tentative d'endommager un check-point ou le mur  est signifié comme un acte violent, et qu'on utilisera la force et  d'autres moyens comme le gaz lacrymogène et les balles en caoutchouc  contre ces actions. Dans le même contexte, l'armée sioniste  reconnaît que dans le cas où une révolution populaire éclate, elle ne  pourra pas compter sur les forces d'Abbas, malgré le haut niveau de  coordination entre les deux côtés.    Il est à noter que les révolutions  populaires dans le monde arabe constituent un sujet très important pour  les services de renseignements sionistes pour récolter les informations.  Un haut officier de l'armée occupante a déclaré que l'armée doit  surveiller les plans et les intentions des factions palestiniennes et ce  qui se passe dans toutes les groupes qui forment la société  palestinienne, surtout ceux qui envoient des messages par Internet, à  travers les sites des réseaux sociaux comme "Facebook".  | 
Pages
▼