| [ 01/01/2011 - 10:00 ] | 
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|             CPI      Selon un rapport publié, vendredi 31/12, par le chercheur pour les affaires des prisonniers palestiniens, Abdel Nasser  Farawana a affirmé que les forces de l'occupation sioniste ont arrêté  4168 Palestiniens au cours de l’année 2010, soit une moyenne de 347  arrestations par mois, et un taux de 11 arrestations par jour, indiquant  à leur intensification en ciblant les enfants de moins de 18 ans, et  les mauvais traitements, de torture et d'extorsion.    Farawana a dit: "La taille  d'arrestations au cours des quatre dernières années a vu une diminution  progressive en termes de nombre total de cas de détention, mais cela ne  veut pas dire absolument que la baisse avait eu lieu sur la taille des  violations et des crimes commis contre les nouveaux ou anciens détenus".      « Mais l’année passée a témoigné une grave escalade en termes d’ escalade et de légitimer les crimes et les violations, prendre des décisions ainsi de nouvelles lois pour harceler les prisonniers » a également souligné Farawana.             Le ciblage des enfants         Farawana a souligné que « 7612  Palestiniens ont été arrêtés par l’occupation en 2007, 5818 autres en  2008, 5132 détenus à 2009, alors que 4168 personnes ont éte enlevées en  2010 ». Le chercheur a souligné que les  arrestations sionistes comportent les enfants, les femmes, les mères,  les épouses, les handicapés, les malades, des dizaines de députés et de  dirigeants politiques, ainsi certains ministres dans des gouvernements  palestiniens précédents.  « Tout ce qui a été arrêté s’est exposé à  une telle forme de l'abus, de la torture physique ou psychologique et  émotionnel, à l'insulte au public et devant les membres de la famille,  de même la majorité s’est exposée à plus d'une forme de torture », a  notamment insisté Farawana. L'escalade des violences Le chercheur pour les affaires des  détenues a noté que le nombre total des prisonniers palestiniens qui  souffrent encore à l'intérieur des prisons a atteint 6500 prisonniers, à  la lumière des arrestations quotidiennes. Montrant que les conditions  des prisonniers vont de mal en pis, où l'occupation est toujours  considéré comme un «Etat au-dessus de la loi », viole et légifère et pratique et commet des crimes contre l’humanité sous un silence international injustifié.  Les violations se sont multipliées et  leur horreur est intensifié, les crimes ont augmenté, la législation  s'est élargie, la liste de patients s’est élevée, et l'utilisation  excessive de la force contre les prisonniers est devenue un phénomène  dans toutes les prisons et centres de détention dans les territoires  palestiniens occupés (soi-disant Israël), ce qui menace d’un grand danger pour la vie des prisonniers en général.             Martyre de prisonniers          Le rapport a indiqué que l'année 2010 a marqué la martyre  de deux prisonniers en raison de la détérioration de la situation  sanitaire, de la négligence médicale volontaire et la torture, citant  leurs noms comme suit :le prisonnier Raed Mahmoud Ahmad Abou Hammad, 31  ans, de la ville d’Al- E’izaria  à Jérusalem (Al-Qods occupée), qui fut  martyrisé dans sa cellule d'isolement, et le prisonnier Mohamed Abdel Salam Moussa Abidin, 39 ans, l’un des habitants d’Al Qods occupée également.  Ainsi les forces occupantes israéliennes  ont également assassiné un certain nombre de citoyens après avoir été  arrêtés et contrôlés, grâce à la prise de vue à partir de zéro, ce qui  relève de la peine de crime d’assassinat après l'arrestation et de «  tuer avec de sang-froid hors de la loi ». Farawana a fini son rapport en appelant  toutes les organisations et les institutions internationales à  abandonner leur silence, de reconsidérer leurs positions et prendre des  mesures pour protéger leurs lois et leurs chartes violées par les  autorités de l’occupation au su et vue du monde entier, afin d’obliger  l’occupation israélienne et garantir l’application des conventions  internationales sur les détenus dans ses prisons.  | 
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