Lundi, 01 Novembre 2010 09:09 
IRIB - Ce n'est pas certes la première ni  la dernière fois que ces habiles mais aussi sournois jongleurs de la  politique politicienne, mènent des négociations en douce, à l'insu pour  mieux dire à l'encontre des Palestiniens.                         C'est maintenant une vieille tradition pour ces fins conjurés de tramer  dans les coulisses des projets qui sauraient assurer une expansionnisme  effrénée qui n'a égale qu'une hégémonie vorace pour ne faire qu'une  bouchée de la Terre de Palestine. Américains et Israéliens mijotent avec  une maestria digne des plus crapuleux conspirateurs, un nouveau  complot, sur fond de toute une gamme d'artifices servant d'écran de  fumée destiné à occulter la vérité des politiques de l'Occupant à  l'opinion publique mondiale. C'est bien simple ne cesse de répéter côté  américaine: les sionistes n'ont qu'à céder devant l'idée d'un brin  d'Etat palestinien sans bien entendu, l'attribut d' "indépendant",  confiné dans une toute petite partie de la Palestine occupée, en contre  partie de leur main mise sur plus de territoires des régions occupées.  Aux termes de ce projet, des parties des territoires palestiniens  notamment à Qods-Est seront louées pour une durée de 40 à 99 ans, par le  régime sioniste, permettant ainsi aux Américains de brouiller, lors des  négociations de compromis, les cartes et remettre aux calendes grecques  le retrait israéliens des territoires palestiniens. Aussi démagogique  que perfide, ce projet s'inscrit dans le prolongement des négociations  de compromission, traduisant dans quelle mesure ce processus capitulard,  portant le titre tonitruant de "négociations de paix" ne fait que  miroiter aux yeux de l'Autorité autonome, le mirage de l'oasis de la  paix, et ne vise qu'à asseoir coûte que coûte la politique hégémonique  du régime sioniste au sein de la Palestine. A l'heure de perfidie et de  compromission, on ne pourra convenir que l'impartialité de Washington  semble plutôt du surréalisme, afin de mieux dissimuler son parti pris  pour le régime sioniste, lui donnant son feu vert pour mener à bien ses  politiques maximalistes et une soif d'expansionnisme qu'il a mal à  assouvir.