Le président palestinien Mahmoud Abbas entamera aujourd’hui, une tournée dans le Golfe, dans le cadre des consultations arabo-palestiniennes, a annoncé son bureau hier.
La nouvelle tournée de M. Abbas au Golfe, le conduira au Koweït, à Bahreïn et aux Emirats Arabes Unis (EAU), où il aura des discussions avec les dirigeants de ces trois pays, consacrées essentiellement au processus de paix israélo-palestinien, bloqué par la poursuite de la colonisation israélienne, a ajouté la même source.
Le dirigeant palestinien saisira cette rencontre pour parler de "possibles alternatives" à entreprendre "ensemble" dans le futur, face à la poursuite des activités de colonisation juive dans les terres palestiniennes, qui bloque toujours le processus de paix dans la région.
Outre cette question, M. Abbas examinera avec les dirigeants arabes le processus de réconciliation interpalestinienne, ainsi que la "fragile" situation financière à laquelle est confrontée l'Autorité palestinienne.
Le président palestinien avait effectué la semaine dernière une visite en Arabie Saoudite avant de recevoir jeudi dernier à Ramallah des responsables égyptiens, toujours dans le cadre des consultations arabo-palestiniennes visant à débloquer le processus de paix.
Relancées le 2 septembre sous la médiation américaine, les négociations de paix avec Israël ont été rompues par la partie palestinienne quelques semaines après, en raison de la poursuite de la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens.
La nouvelle tournée de M. Abbas au Golfe, le conduira au Koweït, à Bahreïn et aux Emirats Arabes Unis (EAU), où il aura des discussions avec les dirigeants de ces trois pays, consacrées essentiellement au processus de paix israélo-palestinien, bloqué par la poursuite de la colonisation israélienne, a ajouté la même source.
Le dirigeant palestinien saisira cette rencontre pour parler de "possibles alternatives" à entreprendre "ensemble" dans le futur, face à la poursuite des activités de colonisation juive dans les terres palestiniennes, qui bloque toujours le processus de paix dans la région.
Outre cette question, M. Abbas examinera avec les dirigeants arabes le processus de réconciliation interpalestinienne, ainsi que la "fragile" situation financière à laquelle est confrontée l'Autorité palestinienne.
Le président palestinien avait effectué la semaine dernière une visite en Arabie Saoudite avant de recevoir jeudi dernier à Ramallah des responsables égyptiens, toujours dans le cadre des consultations arabo-palestiniennes visant à débloquer le processus de paix.
Relancées le 2 septembre sous la médiation américaine, les négociations de paix avec Israël ont été rompues par la partie palestinienne quelques semaines après, en raison de la poursuite de la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens.
La Suède soutient la création d'un "Etat palestinien libre et indépendant"
Le ministre suédois des Affaires étrangères, Carl Bildt, a apporté hier, le soutien de son pays et celui de l'Europe à la demande palestinienne d'établir un "Etat palestinien libre et indépendant".
Dans des déclarations à la radio "Suède Internationale", le chef de la diplomatie suédois a demandé à Israël "de contribuer fortement aux négociations de paix bloquées au Proche-Orient et d'arrêter ses activités de colonisation dans les territoires palestiniens".
M. Bildt a vivement dénoncé la poursuite de la colonisation israélienne la qualifiant de "violations du droit international", appelant à la reprise rapide des négociations entre les deux parties.
"Il est très important de relancer les pourparlers de paix au Proche-Orient et de procéder à la démarcation des frontière", a déclaré M. Bildt.
Relancées le 2 septembre dernier sous la médiation américaine, les négociations de paix avec Israël ont été rompues par la partie palestinienne quelques semaines après, en raison de la poursuite de la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens.
Le ministre suédois des Affaires étrangères, Carl Bildt, a apporté hier, le soutien de son pays et celui de l'Europe à la demande palestinienne d'établir un "Etat palestinien libre et indépendant".
Dans des déclarations à la radio "Suède Internationale", le chef de la diplomatie suédois a demandé à Israël "de contribuer fortement aux négociations de paix bloquées au Proche-Orient et d'arrêter ses activités de colonisation dans les territoires palestiniens".
M. Bildt a vivement dénoncé la poursuite de la colonisation israélienne la qualifiant de "violations du droit international", appelant à la reprise rapide des négociations entre les deux parties.
"Il est très important de relancer les pourparlers de paix au Proche-Orient et de procéder à la démarcation des frontière", a déclaré M. Bildt.
Relancées le 2 septembre dernier sous la médiation américaine, les négociations de paix avec Israël ont été rompues par la partie palestinienne quelques semaines après, en raison de la poursuite de la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens.
Inauguration du 1er hôtel cinq étoiles à Ramallah
Le premier hôtel cinq étoiles d'une chaîne internationale s'est ouvert lundi dernier, à Ramallah, en Cisjordanie, illustrant l'ouverture de ce territoire occupé au commerce et aux investissements.
Le Moevenpick Ramallah, de six étages, sous franchise de la chaîne hôtelière suisse, illustre l'ouverture de la Cisjordanie au commerce.
Destiné à accueillir des entrepreneurs, travailleurs humanitaires ou diplomates, l'hôtel propose 171 chambres et suites, une piscine extérieure, un centre de remise en forme et sept salles de conférence. "Nous croyons en l'avenir du pays et l'avenir de cet hôtel. C'est un bel investissement et une opportunité pour Ramallah", affirme le directeur général Daniel Roche.
L'économie de la Cisjordanie, dirigée par l'Autorité palestinienne, a vu sa croissance progresser de 9% au 1e semestre, selon le FMI. Ce territoire soutenu massivement par la communauté internationale a néanmoins réduit sa dépendance vis-à-vis de l'aide étrangère, passée de 1,4 milliard d'euros en 2007 à 900 millions d'euros en 2010.
Il est signalé toutefois que les importations et exportations restent difficiles et le secteur privé en Cisjordanie n'a qu'un accès limité aux quelque 60% du territoire sous contrôle militaire israélien exclusif.
L'ouverture de cet hôtel, d'un coût de 40 millions de dollars, coïncide avec le gel des négociations israélo-palestiniennes relancées le 2 septembre à Washington depuis l'expiration le 26 septembre d'un moratoire de dix mois sur les nouvelles constructions dans les colonies juives de Cisjordanie.
LienLe Moevenpick Ramallah, de six étages, sous franchise de la chaîne hôtelière suisse, illustre l'ouverture de la Cisjordanie au commerce.
Destiné à accueillir des entrepreneurs, travailleurs humanitaires ou diplomates, l'hôtel propose 171 chambres et suites, une piscine extérieure, un centre de remise en forme et sept salles de conférence. "Nous croyons en l'avenir du pays et l'avenir de cet hôtel. C'est un bel investissement et une opportunité pour Ramallah", affirme le directeur général Daniel Roche.
L'économie de la Cisjordanie, dirigée par l'Autorité palestinienne, a vu sa croissance progresser de 9% au 1e semestre, selon le FMI. Ce territoire soutenu massivement par la communauté internationale a néanmoins réduit sa dépendance vis-à-vis de l'aide étrangère, passée de 1,4 milliard d'euros en 2007 à 900 millions d'euros en 2010.
Il est signalé toutefois que les importations et exportations restent difficiles et le secteur privé en Cisjordanie n'a qu'un accès limité aux quelque 60% du territoire sous contrôle militaire israélien exclusif.
L'ouverture de cet hôtel, d'un coût de 40 millions de dollars, coïncide avec le gel des négociations israélo-palestiniennes relancées le 2 septembre à Washington depuis l'expiration le 26 septembre d'un moratoire de dix mois sur les nouvelles constructions dans les colonies juives de Cisjordanie.