| [ 16/10/2010 - 14:35 ] | 
|             |        
|             Gaza - CPI Le leader du mouvement Hamas, Dr.  Ismaïl Redouane, a affirmé que les prochaines discussions entre le Hamas  et le Fatah, en Syrie, se baseront sur la question sécuritaire, qui est  l'un des dossiers les plus importants et compliqués qui est resté en  suspens entre les deux parties.  Lors de son communiqué de presse,  aujourd’hui samedi 16/10, Redouane a précisé que la réunion prochaine  examinera le dossier de la sécurité, ainsi que la reconstruction et  restructuration des services sécuritaire sur des bases nationales pour  appuyer et servir le projet national, ainsi que la réalisation des  intérêts du peuple palestinien, en indiquant que la haute commission  discutera par la suite les détails de ce dossier, jusqu’à l'arrivée à un  accord entre les deux côtés.  Il a souhaité que la prochaine étape soit  décisive, et qu’il y aura des progrès qui contribueront à une entente  palestinienne, en disant: «Toute paralysie ou objection à ce dossier  sera un nouveau échec pour la réalisation de la réconciliation et  l’unité nationale, chose que nous ne souhaiterons pas».  Il a ajouté que la prochaine réunion  discutera également des arrangements nécessaires pour parvenir à une  réconciliation réelle, ainsi que la signature de l’entente nationale, et  le document égyptien, qui représenteront une référence pour le  consensus et contribuera à un partenariat politique et sécuritaire  totale. Dans un autre même contexte, Redouane a  souligné que le remplacement du général américain en Cisjordanie, Keith  Dayton, par le général Mueller met un point d'interrogation sur le  dossier sécuritaire et de la réconciliation parce que l'administration  américaine continue de presser afin que les coopérations sécuritaires  continuent et la décision palestinienne, à Ramallah, soit toujours  soumise à l’occupation. Dr. Redouane a appelé le mouvement du  Fatah à renoncer aux pressions américaines et refuser les interventions  dans les affaires internes palestiniennes en donnant la priorité au  consensus national.  | 
Pages
▼