| [ 05/10/2010 - 10:38 ] | 
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|             Al Qods occupée- CPI Sous de fortes pressions de la  communauté internationale, la question du gel de la colonisation dans  les territoires palestiniens occupés est revenue de nouveau sur le tapi  des négociations mal patinées entre l’autorité de l’ex-président Mahmoud  Abbas et les dirigeants sionistes. « Le conseil des ministres du cabinet  sioniste s’est opposé contre toute concession en faveur du gel de la  construction dans les territoires occupés, notamment en Cisjordanie »,  ont révélé des sources bien informées. Les sources ont affirmé que le premier  ministre du gouvernement israélien, Benjamin Netanyahu et son ministre  des affaires étrangères, Avigdor Liebarman ainsi une moitié des  ministres du cabinet sioniste refusent les propositions du président  américain, Barak Obama pour un gel de colonisation de deux mois et les  pressions de la communauté internationale à cette question qu’avait mis  terme aux négociations directes sous l’égide des Etats-Unis. En dépit de l’intervention de la  direction de la maison blanche  qui presse pour la continuation des  négociations directes, le premier ministre a clairement fait savoir,  lors d’une séance tenue hier du conseil ministériel sioniste, qu'il n'y  avait jusqu'à présent aucune décision et que, si elle devait être prise,  les ministres en seraient informés », selon les propos de Gilad Erdan,  le ministre de l'Environnement.  Selon le journal hébreu « Yediot Aharonot », 15 parmi les 30 ministres du gouvernement de coalition sont hostiles à toute nouvelle prolongation du moratoire de gel de la colonisation en Cisjordanie, indiquant que 8 sont favorables, alors que 7 déclarent douteux, ajoutant que 8 des 15 ministres du cabinet de sécurité sont totalement hostiles à un tel prétendu nouveau gel. « Sûrement, ce serait idiot de céder, mais  ce serait encore plus bête de ne pas le faire », a estimé hier Nahum  Barnea, l'éditorialiste vedette du Yediot Aharonot, que Netanyahu va en  fin de compte céder aux pressions américaines Il est à noter que la majorité du peuple  palestinien (ses factions nationales) ont refusé décisivement toute  reprise des négociations directes mal lancées le 2 septembre sous  l’égide de Washington, soulignant qu’elles ne représentent qu’une menace  réelle à la légitimité de la question légale palestinienne et aux  intérêts suprêmes de la nation, en plus l’autorité d’Abbas qui s’est  trouvée actuellement piégée a toutefois menacé de les quitter lors de la  continuation des expansions coloniales lors de l’expiration du prétendu  moratoire de gel le 26 septembre passé.  | 
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