| [ 31/08/2010 - 12:04 ] | 
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|             Al-Qods occupée – CPI Le premier ministre sioniste,  Benjamin Netanyahu, a adressé, hier lundi 30/8, des messages d'assurance  à son parti "le Likoud", en soulignant qu' « il sera très difficile  d'obtenir des concessions géographiques de sa part » lors des  pourparlers directs de paix avec l'autorité d'Abbas qui seront lancés,  jeudi prochain, dans la capitale américaine, Washington. Lors d’une réunion entre les membres de  son parti avant les cérémonies de ce qui s’appelle "le nouvel an juif"  qui débutent le 8 septembre, Netanyahu a déclaré: « Vous ne devez pas  vous inquiéter… personne ne m’apprendra ce qu’est l'amour pour la terre  d'Israël ».   Selon l'AFP, "la terre d'Israël" est une expression biblique qui se  réfère à la zone qui s'étend de la côte de la Méditerranée au Jourdain,  comportant la Cisjordanie occupée où sont installés plus de 300 000  colons sionistes répartis dans 150 colonies établies illégalement sur  les terres des citoyens palestiniens.  « Je suis conscient des difficultés,  mais je pense qu'il est possible de parvenir à un accord de paix (…) Le  gouvernement d"'Israël" veut avancer sur le chemin de la paix (…) nous  voulons une paix réelle qui continuera pendant des générations, et le  gouvernement du Likoud est en mesure de parvenir à une telle paix », a  ainsi ajouté Netanyahu.  Ces confirmations de Netanyahu font  suite à d’autres déclarations, dans lesquelles il a affirmé la décision  de son cabinet de mettre fin à la décision du gel de la colonisation en  Cisjordanie et dans la ville occupée d'al-Qods, plusieurs jours avant le  lancement des négociations directes avec l'autorité d'Abbas, au milieu  d'un rejet massif palestinien de la reprise des négociations inutiles.  Netanyahu avait déclaré, dimanche dernier, que tout accord de paix doit  prévoir que « "Israël" est l'état du peuple juif » et que « le conflit  doit être réglé une fois pour toutes ». L’accord doit également prévoir  « des mesures sécuritaires » détaillées et approuvées par l’occupation.  | 
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