Toutes les factions palestiniennes  ont dénoncé avec véhémence la rencontre qui a eu lieu hier entre le  ministre israélien de la Guerre Ehud Barak et le Premier ministre  palestinien Salam Fayyad. 
 Le Hamas a affirmé que cette   rencontre montrait que l’Autorité palestinienne «mentait sur son désir  de ne pas passer à des négociations directes». «Cette rencontre est une  honte pour l’Autorité du Fatah en Cisjordanie», a déclaré un  porte-parole du Hamas à Gaza, Fawzi Barhoum, en référence à l’Autorité  palestinienne. «Elle révèle le mensonge de (Mahmoud) Abbas et du Fatah  sur leur désir de ne pas passer à des négociations directes» avec  Israël, a-t-il estimé.  
 Le porte-parole du Hamas, mouvement  qui contrôle la bande de Ghaza, voit dans les entretiens de MM. Fayyad  et Barak «une rencontre sécuritaire dangereuse dictée par l’agenda  américain et les ordres sionistes pour rehausser la coopération de  sécurité avec l’ennemi afin de liquider la résistance et protéger  l’occupation». «Salam Fayyad ne représente que lui-même et l’autorité du  Fatah en Cisjordanie ne représente pas le peuple palestinien», a ajouté  Barhoum, estimant que la tenue de cette rencontre à ce moment précis  légitimait la colonisation israélienne et l’expulsion de députés  palestiniens de Jérusalem-Est occupée.
Le Hamas a qualifié la rencontre du premier ministre palestinien, Salam Fayyad avec le ministre israélien de la défense Ehud Barak de « légitimation des crimes des colons, c’est une carte qu’utilise Israël pour redorer son blason Le porte parole du Hamas à Gaza, Samy Abou Zouhri, a en effet déclaré dans un communiqué que « les allégations de Fayyad selon lesquelles la rencontre avait pour objectif une levée du blocus est une tentative pour la justifier. Fayyad est complice du blocus sur Gaza, la preuve, est que c’est lui qui prive les fonctionnaires à Gaza de leurs salaires et de leurs passeports ».
Ajoutant que cette rencontre avait pour but de coordonner leurs actions pour maintenir le blocus, liquider les cellules de résistances et éradiquer le Hamas, précise Abou Souhri dans son communiqué.
Pour sa part, le Jihad islamique, a estimé que cette réunion a pour but d'induire en erreur les purs, dans une tentative désespéré de redorer le blason du le criminel Barack , et affaiblir les campagnes internationales de solidarité avec l’Etat palestinien surtout après le massacre de la flottille humanitaire de Gaza.
Le Hamas a qualifié la rencontre du premier ministre palestinien, Salam Fayyad avec le ministre israélien de la défense Ehud Barak de « légitimation des crimes des colons, c’est une carte qu’utilise Israël pour redorer son blason Le porte parole du Hamas à Gaza, Samy Abou Zouhri, a en effet déclaré dans un communiqué que « les allégations de Fayyad selon lesquelles la rencontre avait pour objectif une levée du blocus est une tentative pour la justifier. Fayyad est complice du blocus sur Gaza, la preuve, est que c’est lui qui prive les fonctionnaires à Gaza de leurs salaires et de leurs passeports ».
Ajoutant que cette rencontre avait pour but de coordonner leurs actions pour maintenir le blocus, liquider les cellules de résistances et éradiquer le Hamas, précise Abou Souhri dans son communiqué.
Pour sa part, le Jihad islamique, a estimé que cette réunion a pour but d'induire en erreur les purs, dans une tentative désespéré de redorer le blason du le criminel Barack , et affaiblir les campagnes internationales de solidarité avec l’Etat palestinien surtout après le massacre de la flottille humanitaire de Gaza.
 Le Djihad islamique a confirmé  dans un communiqué que faire », Salam Fayyad," cette rencontre directe  avec Barak, révèle encore une fois la gravité de son rôle et celui de la  carrière, et révèle également l'état de "sauvage" politique et  contraste avec les positions de l'OLP a annoncé.   Dans le même  contexte, le Front populaire de libération de la Palestine a estimé  qu’il n’y avait aucune justification pour une telle réunion, à la  lumière de l'échec des négociations indirectes, géré par l'envoyé  spécial au Moyen-Orient du président américain Mitchell, aussi en raison  de la poursuite de l'occupation et e la politique de colonisation de  Jérusalem en particulier dans la vallée du Jourdain, sans oublier la  poursuite du siège sur la bande de Gaza et ferme.