Jamais Israël, depuis l’usurpation de la Palestine, ne s’était adonné à un tel étalement de son arsenal militaire. Chaque fois qu’il s’achète un nouvel armement, qu’il s’en fabrique un, voire qu’il envisage de s’en acquérir un nouveau, même sans être sûr de l’obtenir, une couverture médiatique est vite mise au point, au détail près. Même l’armement nucléaire, dont le secret avait pendant longtemps été soigneusement gardé n’a pu être épargné…
On croirait que l’entité sioniste n’a plus de secrets militaires.
On croirait que l’entité sioniste n’a plus de secrets militaires.
Cette fois-ci, et selon les deux quotidiens « Yediot Aharonot » et « Jérusalem Post », l’armement convoité serait les avions de chasse F35, fabriqués par la Loockheed Martin.
La semaine dernière, une allusion indirecte avait été évoquée, lors de la rencontre entre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou et le secrétaire d’état américain de guerre Robert Gates à Washington, faisant état de négociations pour l’achat d’armement super sophistiqué.
La semaine dernière, une allusion indirecte avait été évoquée, lors de la rencontre entre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou et le secrétaire d’état américain de guerre Robert Gates à Washington, faisant état de négociations pour l’achat d’armement super sophistiqué.
Force est de constater qu’en parallèle, les deux journaux ont pris le soin de rapporter que des expériences ont été effectuées la semaine dernière sur d’autres avions aussi perfectionnés, les F15, connus sous le nom de « l’aigle silencieux », pouvant transporter plus de missiles que les F35. Signalant bien entendu qu’elles ont été un succès.
Mais la particularité des F35 réside selon les israéliens dans le fait qu’ils sont plus aptes à échapper au radar, et donc aux systèmes de défense antiaérien iranien. Raison invoquée pour en faire le principal de leur arsenal aérien.
Mais le grand inconvénient est qu’ils sont très chers : 130 millions de dollars l’appareil. Des négociations seraient en cours en vue d’en baisser le prix. Si elles aboutissent, les appareils ne seraient pas livrés avant quatre années.
Mais la particularité des F35 réside selon les israéliens dans le fait qu’ils sont plus aptes à échapper au radar, et donc aux systèmes de défense antiaérien iranien. Raison invoquée pour en faire le principal de leur arsenal aérien.
Mais le grand inconvénient est qu’ils sont très chers : 130 millions de dollars l’appareil. Des négociations seraient en cours en vue d’en baisser le prix. Si elles aboutissent, les appareils ne seraient pas livrés avant quatre années.
S’agissant de l’étalement médiatique de son arsenal, l’entité sioniste avait évoqué les jours derniers le déploiement d’un système défensif : un radar de type Raz, fabriqué sur place, pouvant soi-disant capter les sites de lancement des roquettes et des missiles, et d’en transmettre les coordonnées aux artilleries pour qu’elles puissent les bombarder.
Il est vrai que plus Israël s’arme, plus il en parle. Cela fait depuis la guerre de juillet que cela perdure. Jusqu’à nous laisser douter qu’il parle plus qu’il ne s’arme.
Dans les apparences des mots employés, les menaces de guerre retentissent. Indirectement, voire inconsciemment, les mises en garde seraient au même degré, dissuasives, en harmonie avec le principe selon lequel le fait de parler des préparatifs de la guerre servirait à l’éviter.
Effets indésirables : elles ont pour effet, chez les adversaires les plus obstinés, de les exhorter à se préparer eux aussi. A cet égard, le même phénomène est perçu du côté iranien.
Raison pour laquelle Israël use de tous ses moyens, de la carotte comme du bâton, pour couper court aux sources d’approvisionnement en armements des Iraniens. (Comme c’est le cas du système antiaérien russe S300). Croyant que sa supériorité militaire jouera en sa faveur.
Mais il est des batailles où les armements les plus sophistiqués paraissent impuissants, et durant lesquelles seuls les bras des hommes, leur obstination et la justesse de leur cause décident de leur cours.
Il est vrai que plus Israël s’arme, plus il en parle. Cela fait depuis la guerre de juillet que cela perdure. Jusqu’à nous laisser douter qu’il parle plus qu’il ne s’arme.
Dans les apparences des mots employés, les menaces de guerre retentissent. Indirectement, voire inconsciemment, les mises en garde seraient au même degré, dissuasives, en harmonie avec le principe selon lequel le fait de parler des préparatifs de la guerre servirait à l’éviter.
Effets indésirables : elles ont pour effet, chez les adversaires les plus obstinés, de les exhorter à se préparer eux aussi. A cet égard, le même phénomène est perçu du côté iranien.
Raison pour laquelle Israël use de tous ses moyens, de la carotte comme du bâton, pour couper court aux sources d’approvisionnement en armements des Iraniens. (Comme c’est le cas du système antiaérien russe S300). Croyant que sa supériorité militaire jouera en sa faveur.
Mais il est des batailles où les armements les plus sophistiqués paraissent impuissants, et durant lesquelles seuls les bras des hommes, leur obstination et la justesse de leur cause décident de leur cours.