| [ 25/07/2010 - 22:26 ] | 
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|             Gaza – CPI      Le ministre des captifs et libérés et président  de la haute commission pour soutenir les captifs, Mohamed Faraj  Al-Ghoul, a appelé le      directeur du comité international de la Croix-Rouge (CICR)  à mettre fin au silence adopté par le CICR et de nombreuses  organisations internationales envers les violations sionistes contre les  captifs palestiniens. Dans une lettre de protestation contre la  situation difficile dont souffrent les captifs palestiniens, Al-Ghoul a  expliqué le danger de cette situation. Le ministre palestinien a condamné la  position de la haute représentante des affaires étrangères de l'Union  Européenne, Catherine Ashton, qui a demandé à ce qu'une visite soit  rendue au soldat sioniste capturé par la résistance palestinienne dans  la Bande de Gaza, Gilad Chalit, et qui a demandé sa libération, à  n'importe quel prix. Elle a oublié la tragédie de plus de 7000 captifs  palestiniens qui souffrent dans les prisons sionistes. Voici une  politique de deux poids deux mesures injustement pratiquée contre les  captifs palestiniens. Il a souligné que les captifs provenant de  la bande de Gaza ne peuvent recevoir de visiteurs, et il a mis l'accent  sur les pratiques inhumaines de l'occupation contre les familles des  captifs en Cisjordanie lors des visites sur les barrages militaires. Al-Ghoul a appelé à exploiter les  allégations sionistes parlant d'alléger le blocus imposé contre Gaza  pour reprendre le programme des visites arrêté depuis plusieurs années.  Il a appelé le CICR à annoncer des positions très claires sur cette  affaire. Le ministre Al-Ghoul a discuté avec le  directeur du CICR de la difficulté de la situation des captifs,  notamment avec leur nourriture confisquée. Il a annoncé être prêt à  apporter son aide au comité international pour mettre fin à ce problème. Le ministre palestinien a aussi mis  l'accent sur la politique de négligence médicale qui a conduit au  martyre de deux détenus palestiniens depuis le début de cette année et  de deux autres après leur libération, à cause des dures conditions dans  lesquelles ils ont vécu dans la prison. Il a appelé le CICR à la  nécessité d'un travail sérieux pour envoyer des délégations  médicales dans les prisons sionistes afin de constater les conditions  des captifs malades. Il a critiqué le CICR pour son silence  envers la politique d'expulsion pratiquée par l'occupation sioniste  contre les Palestiniens et les députés élus de la ville occupée  d'Al-Qods. De son côté, le directeur du CICR a promis  d'étudier ces demandes pour y répondre dans les 10 jours et à tenter  d'améliorer les services présentés aux captifs.  | 
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