|                         Al-Qds occupée –  CPI  
                 Le député Maqdissi, Ahmed Attoun a  affirmé son attachement avec ses confrères au séjour sur les territoires  de la Palestine, après avoir reçu une décision sioniste pour l'expulser  hors de la ville occupée d'al-Qods, avec ses confrères Mohamed Toutah  et Mohamed Abou Taïr, ainsi que l'ancien ministre, Khaled Abou Arafa, et  qui sera exécutée au début du mois de juillet.  Dans ses déclaration à l'agence "REUTERS",  Attoun a dit :"Nous ne savons pas ce qui va se passer après la date du 2  juillet 2010, mais nous ne quitterons jamais la ville occupée d'al-Qods  parce qu'elle est notre territoire et celui de nos grands-pères, et  nous n'avons aucun lieu qu'al-Qods et nous ne portons pas une autre  identité". Les autorités sionistes ont donné, avant  plusieurs jours, au député Attoun, Toutah et l'ancien ministre, Khaled  Abou Arafa, une décision similaire à celle qui a été présentée au  député, Mohamed Abou Taïr, avant 3 semaines pour les expulser à  l'extérieur de la ville sacrée d'al-Qods occupée, en donnant un délai  d'un mois. Attoun a poursuivi qu'après la  confiscation de tous nos papiers dont les cartes d'identités, le  directeur de la police sioniste nous a écrit : "Nous vous donnons une  autorisation provisoire de séjour à al-Qods jusqu'au 2 juillet 2010,  seulement. La décision dit aussi : "Après cette date,  vous serez considérés comme des gens qui n'ont pas droit à rester dans  l'état d' "Israël", puis vous aurez le sort des individus qui se  sont infiltrés illégalement dans ses territoires. Attoun a indiqué que des sources  bien-informées et des procureurs généraux sionistes ont dit que les  autorités de l'occupation comptent expulser plus de 350 personnalités  Maqdissis à l'extérieur d'al-Qods. L'histoire des députés du Hamas dans la  ville occupée d'al-Qods a été créée avant quatre ans lorsque le ministre  sioniste de l'intérieur les a appelé à démissionner du conseil  législatif palestinien après que le Hamas a remporté les élections, en  les menaçant de tirer leur cartes d'identités qui leurs donnent le droit  au séjour dans la ville sacrée.  |